Broches
On ne les voit plus très souvent dans nos boite à bijoux, pourtant elles n'ont pas leur pareil pour embellir toutes nos tenues. Faisons-les revenir !
A l'époque où les femmes étaient élégantes même pour faire leurs courses, elles ne manquaient pas de faire usage de ce merveilleux bijou quelque peu boudé ensuite. Et pourtant, les broches sont une finition merveilleuse pour qui sait les utiliser.
Heureusement, les voilà revenues devant les projecteurs avec les vedettes du cinéma, de la chanson ou de la mode qui les arborent aujourd'hui avec créativité.
Quant à la famille royale d'Angleterre, n'en parlons pas : elle a toujours adoré les broches !
Evidemment, nous ne mettrons pas en avant le style tarabiscoté et désuet de celles d'Elisabeth 2 qui ont crevé l'écran, ses manteaux et nos yeux pendant longtemps.
Il est bien certain que rares sont celles d'entre nous qui voudraient porter un bijou aussi compliqué. Les porter, non - ou vraiment pas tous les jours, mais le posséder, oui ! .... Ces petites babioles valent tout de même une vraie fortune avec plein plein de chiffres et sans virgule !
Les broches et tous les autres bijoux de la Couronne sont non seulement sertis de pierres précieuses chacune d'une grande valeur pesant souvent un nombre impressionnant de carats, mais ce sont aussi des objets d'art, uniques, créés par des orfèvres chevronnés.
Leur l'histoire remonte parfois à plusieurs siècles et raconte des cadeaux, des vols, des passions amoureuses, des pertes et des retrouvailles, des guerres et des paix...
Bien sûr, ce ne sera probablement pas le destin de ces épingles décoratives que nous vous proposons ici. L'avantage en étant que nos broches sont tout de même infiniment plus faciles à porter !
Et n'en restent pas moins de très jolis cadeaux à faire à soi-même ou à autrui.
La broche contemporaine reste un bijou artistique
C'est avec la plus grande attention que vous allez décider où la poser sur votre tenue. En effet, les possibilité de la mettre - et de vous mettre, en valeur sont multiples.
Accrochez-les où vous voulez !
La première façon est de la porter de façon classique et traditionelle, soit juste sous l'épaule gauche, avec une robe ou sur le revers d'un manteau et associée avec des boucles d'oreilles, des bagues ou un collier du même genre. En parure donc.
La deuxième façon est ... de se faire plaisir ! Libre à vous de l'utiliser pour marquer votre style personnel en la portant très différemment. Soyez originale : C'est la tendance actuelle.
Soyez audacieuse
Exit les codes stricts et vive la liberté d'expression individuelle.
- Mettez en valeur votre décolleté : Epinglez-là de façon à le réduire ou à le sublimer. Elle peut alors se porter légèrement sur le côté de l'échancrure ou au milieu de celle-ci. Adaptez la taille de votre bijou selon l'effet recherché.
- Pour maintenir un foulard ou une écharpe
- Pour embellir une veste ou un manteau.
- Et, bien entendu, sur une robe ! C'est la touche chic qui fait toute la différence. La moindre petite robe devient alors le summum de l'élégance. Pour une soirée, une broche plus sophistiquée (mais pas trop lourde ! ) fera chic et raffiné. En été, privilégiez les motifs floraux. Pour les réception, jouez sur les pierres précieuses et semi-précieuses.
- La broche pour un chapeau. Ca,c'est pour les audacieuses : parce que porter un chapeau n'est pas donné à tout le monde. Il faut une sacrée personnalité. D'antan, les femmes portaient des chapeaux, les hommes aussi d'ailleurs. C'était chic et élégant. Aujourd'hui, rares sont ceux et celles (à part la casquette) qui s'y attachent encore. Et pourtant, le chapeau est un accessoire incroyablement choc à qui sait s'y prendre !
- Et sur un sac à main ! Une broche sur un sac à main ou une pochette, c'est la classe folle : un moyen de transformer un accessoire peut-être banal en objet hyper stylé !
- Bien porter une broche sur un chemisier ou sur un pullover : Faites jouer le contraste ! Une broche peut changer la donne et rendre votre petit chemisier ou votre gros pull à col roulé tristounet en une tenue époustoufflante.
